Le château de la Ville-Chevalier
Les propriétaires
La Ville Chevalier est propriété de la famille de Quélen et de Lorgeril depuis 1638.
Le manoir de la Ville-Chevalier aurait déjà existé en 1428, de cette époque ancienne il ne reste que quelques pierres, à ces temps anciens l’ensemble devait avoir un coté beaucoup plus défensif puisqu’ il se situait au dessus de la rivière le Leff.
C’est le 1er mai 1638 que Jeanne Henri de Beauchamps épouse Claude de Quélen, depuis cette date faite rare et exceptionnelle la propriété n’a jamais quittée la famille, elle sera transmise au de Lorgeril en 1928 par Louise de Quélen qui épouse quelques années plus tôt en 1901 Simon de Lorgeril.
Tout au long des siècles la Ville Chevalier va vivre suivant le vas et viens de ses habitants qui résident tantôt à Paris, tantôt à Versailles et tantôt à Plouagat.
Deux de ses habitants vont se distinguer : Jean Claude de Quélen qui sera capitaine des vaisseaux du roi sous Louis XV et l'un de ses fils Hyacinthe Louis qui sera Archevêque de Paris, mais aussi académicien et pair de France.
La Ville Chevalier est propriété de la famille de Quélen et de Lorgeril depuis 1638.
Le manoir de la Ville-Chevalier aurait déjà existé en 1428, de cette époque ancienne il ne reste que quelques pierres, à ces temps anciens l’ensemble devait avoir un coté beaucoup plus défensif puisqu’ il se situait au dessus de la rivière le Leff.
C’est le 1er mai 1638 que Jeanne Henri de Beauchamps épouse Claude de Quélen, depuis cette date faite rare et exceptionnelle la propriété n’a jamais quittée la famille, elle sera transmise au de Lorgeril en 1928 par Louise de Quélen qui épouse quelques années plus tôt en 1901 Simon de Lorgeril.
Tout au long des siècles la Ville Chevalier va vivre suivant le vas et viens de ses habitants qui résident tantôt à Paris, tantôt à Versailles et tantôt à Plouagat.
Deux de ses habitants vont se distinguer : Jean Claude de Quélen qui sera capitaine des vaisseaux du roi sous Louis XV et l'un de ses fils Hyacinthe Louis qui sera Archevêque de Paris, mais aussi académicien et pair de France.
L'architecture
L'architecture quand à elle, est typique des membres du parlement de Bretagne du 18e siècle, avec ses grandes ouvertures et sa façade presque rectiligne. Elle n’a été que très peu remaniée à travers les siècles, seul un couloir à l'arrière à été ajouté dans les années 1820.
Au 18e siècle un jardin à la Française se situait devant le château, cependant au début du 19e il a fait place à un parc à l’anglaise très en vogue à cette époque. Après avoir été inhabité des années 1925 à 1947, l’ensemble de la propriété a été restaurée dans les années 50, pour lui donner l'aspect qu’on peu lui voir aujourd'hui.
Au-dessus de la porte des écuries, ainsi que sur une fontaine se trouvent les armes des Quélen. L'orangerie date du XVIIIe siècle.
La chapelle privée de la Ville-Chevalier (XIXe siècle) est bénite le 23 novembre 1891 : elle remplace une ancienne chapelle datée de 1642. Dans la crypte de la chapelle reposent depuis 1758 les corps défunts des membres de la famille Quélen. À gauche de la chapelle, dédiée à sainte Anne et bénite le 23 novembre 1891, se trouve un gisant daté du XIVème siècle, qui pourrait appartenir à la famille de La Lande.
L'architecture quand à elle, est typique des membres du parlement de Bretagne du 18e siècle, avec ses grandes ouvertures et sa façade presque rectiligne. Elle n’a été que très peu remaniée à travers les siècles, seul un couloir à l'arrière à été ajouté dans les années 1820.
Au 18e siècle un jardin à la Française se situait devant le château, cependant au début du 19e il a fait place à un parc à l’anglaise très en vogue à cette époque. Après avoir été inhabité des années 1925 à 1947, l’ensemble de la propriété a été restaurée dans les années 50, pour lui donner l'aspect qu’on peu lui voir aujourd'hui.
Au-dessus de la porte des écuries, ainsi que sur une fontaine se trouvent les armes des Quélen. L'orangerie date du XVIIIe siècle.
La chapelle privée de la Ville-Chevalier (XIXe siècle) est bénite le 23 novembre 1891 : elle remplace une ancienne chapelle datée de 1642. Dans la crypte de la chapelle reposent depuis 1758 les corps défunts des membres de la famille Quélen. À gauche de la chapelle, dédiée à sainte Anne et bénite le 23 novembre 1891, se trouve un gisant daté du XIVème siècle, qui pourrait appartenir à la famille de La Lande.
Une stèle de fécondité
La stèle du château de la Ville-Chevalier en Plouagat est une stèle ovoïde, dite «pierre de la fécondité», sur laquelle les femmes qui n’avaient pas d’enfants s’asseyaient pour devenir mères.
La stèle du château de la Ville-Chevalier en Plouagat est une stèle ovoïde, dite «pierre de la fécondité», sur laquelle les femmes qui n’avaient pas d’enfants s’asseyaient pour devenir mères.